La Commission européenne risque d’être trop centralisée et de ne plus attirer les jeunes, selon Cristiano Sebastiani, président de l’un des principaux syndicats de l’UE, Renouveau & Démocratie.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a dévoilé la semaine dernière ses projets pour la nouvelle équipe de direction de la Commission européenne, mais les réactions ont été mitigées. De nombreux responsables politiques ont estimé que les portefeuilles étaient trop vastes et se chevauchaient.
La crainte est que les prochains commissaires se marchent constamment sur les pieds, comme beaucoup l’ont fait lors du mandat précédent.
Mais la question sous-jacente pourrait bien être : pourquoi avons-nous besoin de 27 commissaires ? Que faudrait-il changer au niveau politique et administratif pour rendre l’institution plus efficace du point de vue du recrutement ?
Aujourd’hui, le président d’un des principaux syndicats de l’UE, Renouveau & Démocratie, Cristiano Sebastiani, s’entretient sur Radio Schuman des principaux problèmes de recrutement auxquels l’exécutif européen est confronté.
Sur une note plus légère, nous explorons le projet de l’Albanie d’établir un nouveau micro-État, appelé à devenir le plus petit du monde.
