Par SARAH PAILLOU
Avec ELISA BERTHOLOMEY et ANTHONY LATTIER
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VOUS NE DEVINEREZ JAMAIS : le risque d’une chute du gouvernement de François Bayrou reprend de la vigueur, parce que les socialistes sont fâchés. Hé oui, on en est toujours là en ce mercredi 29 janvier 2025. Bonjour quand même.
MOTION DE CENSURE
TEMPÊTE DANS L’ENCRIER. Qui aurait pu prédire que l’immigration serait LE sujet qui envenimerait les discussions budgétaires entre le gouvernement et les socialistes, au point de menacer l’espoir d’un accord, et donc l’avenir de l’équipe de François Bayrou ? Visiblement pas le Premier ministre. Lors du petit-déjeuner des chefs du “socle commun” hier, il se montrait fort serein sur l’attitude future du parti à la rose, malgré ses propos de la veille sur la “submersion” migratoire qui commençaient à faire réagir jusque dans son camp.
Tranquillou Bayrou. “L’aspiration des Français à la stabilité est tellement forte que les socialistes ne pourront pas se permettre de censurer”, a déclaré le chef du gouvernement pendant ladite réunion, écrit ce matin Le Canard Enchaîné — un participant nous a confirmé cette nuit avoir entendu, en substance, ces propos.
Sous l’ouragan maudit que nous soufflâmes. Ça, c’était avant que le parti à la rose ne décide de boycotter les négos. Car, ulcérés, les socialistes ont annulé leur réunion de l’après-midi avec le gouvernement et mis “en standby” celles du jour, selon les mots d’un député PS. Boris Vallaud a donné l’occasion au Premier ministre, jugent-ils, de retirer le vocable de “submersion”, “sciemment emprunté à l’extrême droite”. Mais François Bayrou lui a répondu sans revenir sur son lexique.
Toutes sortes de mots se couvrirent de flammes. “Reprendre une thèse du Rassemblement national de manière aussi décomplexée pose un sujet énorme”, estimait-on dans la soirée au groupe PS. Selon notre interlocuteur, le PM remet en cause “la condition préalable” aux discussions débutées mi-décembre autour d’Emmanuel Macron et d’un “engagement commun : “ne plus jamais dépendre du RN”.
“Il ne nous aide pas”, soupirait nuitamment un négociateur socialiste dans le cellulaire de Playbook. Via messagerie cryptée, un conseiller gouvernemental se lamentait aussi : “C’est quand même une énorme connerie.”
Oops, I did it again. Un député Ensemble pour la République, joint dans l’après-midi, en venait à s’alarmer : “Il y a un risque de censure par accident”.
Autrement dit : d’après ce député EPR, quelles que soient les décisions de la direction du groupe ou du parti socialistes, les députés PS pourraient être bien plus nombreux que la dernière fois à soutenir le renversement de l’équipe Bayrou lors des votes sur les textes budgétaires. Il y a quinze jours, pour le dernier vote sur une motion de censure, ils étaient huit. Cette fois-ci, le gouvernement pourrait chuter “à trois, quatre voix près”, s’alarmait notre homme.
Le point boulier. Pour mémoire, si les deux groupes d’extrême droite, les Insoumis, les Ecologistes et les communistes votaient à l’unisson une motion, une vingtaine de voix socialistes seraient suffisantes pour faire tomber Bayrou et ses ministres (sans prendre en compte l’attitude des députés Liot et non-inscrits).
ET MAINTENANT ? Nos deux sources PS étaient bien en peine, hier soir, de répondre à nos interrogations sur une éventuelle reprise des discussions, les conditions de celle-ci ou le choix de leur groupe de voter ou non une future motion.
Résumé du dilemme par le négociateur précité : “Je n’aurai aucun état d’âme à censurer, ne serait-ce que sur les déclarations de Bayrou. Mais il faut un budget pour le pays.”
Réponse à un acte d’accusation. Du côté de Matignon, on se bornait à répéter : “La porte est ouverte”. Un proche du Palois, au téléphone avec votre serviteure dans la nuit, refusait toutefois de croire à une censure socialiste : “A cause d’un mot, on ne donnerait pas de budget à la France ? La conséquence serait démesurée.”
Cadeaux. Doutant fortement de la volonté du Béarnais de revenir sur ses mots, le député EPR mentionné plus haut évoquait alors, pour convaincre les socialistes, “des concessions sur le social”. Une revalorisation anticipée du Smic serait par exemple dans les tuyaux.
Le retour de l’AME. Il conviendrait aussi, d’après le même, de “sortir tout ce qu’il y a d’irritant” pour les PS dans le projet de loi de finances — sur lequel une réunion cruciale des sénateurs et députés (la commission mixte paritaire) est prévue demain. Il faudrait notamment évacuer la réduction du budget de l’Aide médicale d’Etat, votée par la Chambre haute.
Problème : Les Républicains n’ont aucunement envie de revenir sur ce coup de varlope à 200 millions d’euros. Malgré une journée de réunions hier, les négociateurs LR et EPR — respectivement le sénateur Jean-François Husson et le député David Amiel — ne sont pas parvenus à un accord sur le sujet, a appris mon collègue Paul de Villepin. “Ils ont décidé de renvoyer ça aux discussions politiques en commission mixte paritaire”, lui a confié un artisan du texte.
GABRIEL ATTAL
GUESS WHO’S BACK. Après s’être astreint à une — relative — cure de silence (que Playbook vous avait racontée là et là), Gabriel Attal revient sur le devant de la scène. Il est l’invité de L’Evénement, sur France 2 ce soir, où “il va parler de sujets concrets pour la vie des Français”, nous indiquait l’un de ses conseillers hier.
Gabriel anime. Le chef de Renaissance veut “mettre dans l’atmosphère des sujets de fond” pour “nourrir et faire vivre le débat”. Dès hier soir, lors d’une réunion des cadres de son parti, “il a dit quelque chose comme : ‘nous n’avons pas l’intention, contrairement à d’autres, de dire aux Français qu’il ne se passera rien dans les deux ans qui nous séparent de la présidentielle’”, nous a confié nuitamment un participant.
Vous n’avez pas la réf’ ? Notre source n’a bien sûr pas manqué d’y voir une pique à Edouard Philippe, qui, dimanche lors d’un congrès à Bordeaux, avait apporté son soutien au gouvernement, mais “sans illusion malheureusement sur le fait que nous ne ferons rien de décisif dans les deux ans qui viennent”.
Revenons-en aux marottes de Gabriel Attal. Parmi celles qu’il compte aborder ce soir, le thème de la justice des mineurs, à nouveau dans l’actualité ces jours-ci avec l’assassinat du jeune Elias vendredi à Paris.
Puisqu’on en parle. Une proposition de loi (PPL) “visant à restaurer l’autorité de la justice à l’égard des mineurs délinquants et de leurs parents”, déposée par le groupe Ensemble pour la République (ex-Renaissance), aurait dû être examinée cette semaine. Pour des raisons de “procédure”, selon le collaborateur attaliste mentionné plus haut, les débats ont été décalés au 12 février.
Officiellement, ce report ne change rien. Mais deux députés ont alerté votre infolettre en début de semaine sur le fait que “le groupe EPR était en minorité” sur cette PPL. “Les conditions n’étaient pas réunies”, reconnaissait un cadre EPR à l’heure du déjeuner lundi. Une partie des troupes d’Attal et du Modem n’est pas convaincue par le principe même de ce texte. “J’ai dit : ‘on va au casse-pipe’”, insistait le même.
C’était sans compter la volonté de Gabriel Attal de pousser ce sujet à l’Assemblée nationale. “Il n’a pas envie de montrer qu’il recule”, décryptait encore notre interlocuteur, pas franchement emballé non plus par le bien-fondé de cette PPL (le système actuel permettant selon lui “d’aller vite et de respecter les victimes”).
Ça nous rajeunit pas. Du temps où il était à Matignon, l’ancien Premier ministre voulait faire des questions d’autorité l’un de ses marqueurs. “C’est un sujet qu’il porte depuis le discours de Viry-Châtillon et son ‘sursaut d’autorité’”, en avril dernier, insistait son conseiller cité précédemment.
AU PARTI. Grosse journée décidément pour Gabriel Attal puisque, quelques heures avant sa grande interview, il présidera, à 11 heures, son premier bureau exécutif de Renaissance (l’instance décisionnaire du parti). Une nouvelle campagne de tracts sera dévoilée avant d’être lancée le week-end prochain, nous a indiqué hier un conseiller. Un premier tract concernera la lutte contre “les extrêmes” ; un second portera sur l’autorité et s’inscrira dans “l’état d’esprit ‘tu casses, tu répares’” — l’une des phrases-clef prononcées par l’ex-PM lors de sa déclaration de politique générale.
AUSSI DANS L’ACTU
REVERS POUR BOYARD. Le député Insoumis Louis Boyard pourra-t-il conquérir la mairie de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), dimanche, sans avoir obtenu le ralliement du communiste Daniel Henry, soutenu par le reste de la gauche ? Les négociations ouvertes lundi, très tendues, ont capoté hier. Boyard, arrivé en tête il y a deux jours (24,9%), et Henry (3e avec 20,7%), ne sont pas parvenus à fusionner leurs listes. Le second s’est retiré et, pas si rancunier, a appelé à voter pour le premier.
C’est lui qu’a commencé. Chacun s’est renvoyé la responsabilité de l’échec de ces tractations houleuses. Les Insoumis reprochent aux communistes de ne pas être à la hauteur du moment. Les communistes et leurs alliés dénoncent les mauvaises manières de LFI.
Motif d’espoir pour Boyard : il y aura une triangulaire au second tour, avec deux listes de droite. Le maire sortant, Philippe Gaudin, arrivé quatrième (15,54 %), a choisi de se maintenir, fragilisant la numéro deux de dimanche dernier, la candidate Les Républicains, Kristell Niasme (22,70%).
BARDELLA ÉCRIT. Il l’avait annoncé lundi lors de ses vœux à la presse, c’est désormais chose faite. Jordan Bardella a envoyé un courrier hier à trois de ses homologues présidents de groupe au Parlement européen (lui-même dirige celui des Patriotes pour l’Europe). La missive a été récupérée en avant-première par L’Observatoire de l’Europe.
Objectif de la manœuvre : unir les voix des eurodéputés de droite et d’extrême droite pour obtenir la suspension du Plan vert, un ensemble de mesures ayant pour but la neutralité climatique de l’UE d’ici à 2050.
Son épître à peine postée, le président du RN recevait déjà une réponse négative. Et, par-dessus le marché, de celles qui comptent : “À Bardella, je dirais juste ‘non’”, a tranché Peter Liese, porte-parole sur les sujets environnementaux du groupe du Parti populaire européen (un parti de centre droit, et le plus fourni de Bruxelles). Bardella peut donc mettre son mouchoir sur son vœu de construire une “majorité alternative” pour tuer la législation européenne sur le climat. Tous les détails sont dans cet article (gratuit et en français) de mon collègue Nicolas Camut.
AUSSI À L’AGENDA
Emmanuel Macron préside le Conseil des ministres à 10 heures. A 15h30, il accueille puis s’entretient avec Leslie Voltaire, président du Conseil présidentiel de transition haïtien. Il se rend ensuite dans les Hauts-de-France pour faire le bilan des pactes “Sambre-Avesnois-Thiérache”, visant à redynamiser le territoire. A 18 heures, il visite le site Framatome de Maubeuge. Il prend la parole à 19h15 depuis le pôle des cultures actuelles d’Aulnoye-Aymeries.
François Bayrou participe à la séance de QAG à l’Assemblée à 14 heures.
Elisabeth Borne est au Conseil supérieur de l’éducation à 14 heures où est examiné le futur programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle. Gérald Darmanin reçoit une centaine de maires et représentants des associations d’élus pour échanger sur la lutte contre le narcotrafic. Catherine Vautrin échange avec Philippe Mouiller, président de la commission des Affaires sociales du Sénat. Elle s’entretient ensuite successivement avec Nicolas Grivel, directeur général de la Cnaf, Michel Fournier, président de l’AMRF et Lionel Colet, président de la Has. François Rebsamen s’entretient avec Frédéric Duponchel, président-fondateur d’Accuracy.
Annie Genevard participe aux vœux de l’Association nationale des industries alimentaires. Marie Barsacq voit Michel Barnier puis elle assiste au match de Ligue des Champions entre Brest et le Real Madrid. Patrick Mignola participe à la conférence des présidents au Sénat. Aurore Bergé intervient lors des vœux de la Fédération protestante de France. Astrid Panosyan-Bouvet est à la cérémonie de vœux de la députée Emmanuelle Hoffman.
Yannick Neuder s’entretient avec le professeur Jean-Yves Blay, président de la Fédération unicancer. Charlotte Parmentier-Lecocq reçoit toute la journée des acteurs du monde du handicap : Marie Rabatel, Jacques Delestre, Patrick Levard, Boris Lachaud, Christophe Lejeun, Fabrice Masi et Pascal Jean-Charles. Elle rencontre aussi Louis Giscard d’Estaing et Céline Jarno Dalbera, président et directrice générale de la Fondation Valéry Giscard d’Estaing. Le soir, elle est aux vœux de Jean Moulière dans le Nord.
Amélie de Montchalin est au Sénat pour la suite des discussions sur la proposition de loi visant à sortir la France du narcotrafic. Véronique Louwagie s’entretient avec Emmanuel Guichard, délégué général de la Fédération des entreprises de la beauté.
Patricia Mirallès est à la cérémonie de vœux au monde combattant au musée national de la Marine. Valérie Létard participe à la discussion de la proposition de loi transpartisane de Bastien Marchive et d’Iñaki Echaniz visant à prévenir les litiges relatifs aux obligations de décence énergétique et sécuriser leur application en copropriété. Elle se rend ensuite aux rencontres des entreprises sociales pour l’habitat.
Françoise Gatel échange avec Marie-Claire Martel, vice-présidente du Cese. Elle discute ensuite avec Jean-Baptiste Marie, directeur général du groupement d’intérêt public Europe des projets architecturaux et urbains. Benjamin Haddad est en déplacement à Washington.
Laurent Saint-Martin participe à un déjeuner de travail avec Anne-Marie Idrac, ancienne secrétaire d’Etat au Commerce extérieur. Le soir, il est à l’Assemblée pour participer à la discussion en séance publique de la proposition de résolution visant à refuser la ratification de l’accord commercial entre l’Union européenne et le Mercosur. Thani Mohamed-Soilihi continue son déplacement au Cameroun où il inaugure la dernière turbine du barrage hydraulique de Nachtigal. Il rencontre aussi les représentantes des associations féministes de la société civile camerounaise.
Yaël Braun-Pivet discute tour à tour avec Rodolphe Belmer, président-directeur général de TF1, Jean-Eric Gicquel, déontologue de l’Assemblée nationale, Jacques Attali, Veylma Falaeo, présidente du congrès de la Nouvelle-Calédonie.
Gérard Larcher présente ses vœux au personnel du Sénat à 10 heures. Il participe ensuite à la conférence des présidents. Puis il se rend à la projection du documentaire de Public Sénat à l’occasion des 150 ans du Sénat.
Assemblée nationale : séance de questions au Gouvernement à partir de 14 heures. Suite de la discussion de la proposition de loi visant à renforcer la lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants. Laurent-Saint Martin participe à la suite de la discussion sur la proposition de résolution visant à condamner l’oppression des femmes iraniennes, et à réaffirmer leur liberté absolue. Ouverture de la discussion sur la proposition de résolution européenne visant à refuser la ratification de l’accord commercial entre l’Union européenne et le Mercosur.
La commission des Affaires étrangères auditionne Salomé Zourabichvili, présidente de la Géorgie à 9 heures. La commission des Affaires économiques organise une table ronde sur la production et l’emploi en France avec Patrick Martin, Amir Reza-Tofighi et Michel Picon.
Sénat : séance de questions d’actualité au Gouvernement à partir de 15 heures. Suite de la discussion sur la PPL contre le narcotrafic.
A 11h30, la commission des Affaires économiques tient une conférence de presse pour présenter son avis sur le projet de loi d’urgence pour Mayotte. La commission auditionne ensuite François Rebsamen sur la proposition de loi pour réduire l’artificialisation des sols. La commission des Affaires européennes auditionne Thierry Breton. La commission de la Culture auditionne Maxime Saada.
Gabriel Attal est l’invité de L’Evénement, sur France 2.
Marine Le Pen est en interview sur LCI à 20h40.
Valérie Pécresse organise le colloque de son mouvement Libres ! à Paris.
Lucie Castets présente ses vœux à Pantin. Marine Tondelier, Johanna Rolland, Manon Aubry, Ian Brossat, François Ruffin et Clémentine Autain doivent y prendre la parole.
Session plénière au Parlement européen.
MATINALES
7h15. France 2 : Alexandre Loupy, néphrologue et directeur Institut de transplantation de Paris.
7h20. RFI : François Moreillon, chef de délégation du comité international de la Croix-rouge en République Démocratique du Congo.
7h30. Public Sénat : Etienne Blanc, sénateur LR du Rhône, auteur de la loi visant à “sortir la France du piège du narcotrafic”.
7h35. TF1 : Valérie Pécresse, présidente LR de la région Ile-de-France.
7h40. France 2 : Marine Tondelier, secrétaire nationale des Ecologistes … RTL : Laurent Marcangeli, ministre de l’Action publique,de la Fonction publique et de la Simplification … RMC : Aurore Bergé, ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes.
7h45. Franceinfo : Sebastien Chenu, vice-président du RN et député du Nord … Radio J : Patricia Miralles, ministre chargée de la Mémoire et des Anciens combattants.
7h50. France Inter : Marie-Suzanne Le Quéau, procureure générale de Paris.
8h00. Public Sénat : Johanna Rolland, maire de Nantes et première secrétaire nationale déléguée du PS.
8h10. Europe 1/CNEWS : Marie-Hélène Thoraval, maire Divers droite de Romans-sur-Isère.
8h15. France 2 : Matthieu Semont, commissaire-priseur … Radio Classique : Alain Aspect, prix Nobel de physique 2022 … RMC : Luc Chatel, président de la plateforme automobile.
8h20. France Inter : David Lisnard, maire Nouvelle énergie de Cannes et président de l’AMF.
8h30. Franceinfo : Benjamin Haddad, ministre chargé de l’Europe … BFMTV/RMC : Michel-Edouard Leclerc, président du comité stratégique des magasins E. Leclerc… Sud Radio : Philippe Brun, député PS de l’Eure … LCI : Maud Bregeon, députée EPR des Hauts-de-Seine.
CARNET
AUJOURD’HUI DANS PARIS INFLUENCE : TSBA, CIR, TTF : les deals droite-EPR avant la CMP … Cette ex-ministre prête main forte au nouveau lobby de l’enseignement supérieur privé … Deuxième round pour Thani Mohamed-Soilihi au Cameroun. C’est à 7h30 pour nos abonnés L’Observatoire de l’Europe Pro.
MÉTÉO. Et sur l’Académie, aïeule et douairière, (Qui fête aujourd’hui encor un anniversaire,) Je fis souffler un vent révolutionnaire.
ANNIVERSAIRES : Eric Woerth, député EPR de l’Oise … Cendra Motin, ancienne députée LREM de l’Isère … Hervé Juvin, ancien député européen RN … Alain Marc, vice-président du Sénat et sénateur Lirt de l’Aveyron … Stéphane Sautarel, sénateur LR du Cantal … Chantal Deseyne, sénatrice LR d’Eure-et-Loir … Laurent Croizier, député MoDem du Doubs.
PLAYLIST. Laissez-vous submerger par Glass Animals, Heat Waves.
Un grand merci à : Nicolas Camut, Paul de Villepin, notre éditrice Zoé Courtois, Loïc Pradier pour la veille et Catherine Bouris pour la mise en ligne.
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