The chamber of the House of Representatives is seen before the State of the Union, Tuesday night, March 1, 2022, at the Capitol in Washington.

Milos Schmidt

Les républicains remportent 218 sièges à la Chambre des représentants, donnant à Donald Trump et à son parti le contrôle du gouvernement

Trump a rallié les républicains de la Chambre des représentants dans un hôtel de Capitol Hill mercredi matin, marquant son premier retour à Washington depuis les élections.

Les républicains ont remporté suffisamment de sièges pour contrôler la Chambre des représentants des États-Unis, complétant ainsi la montée du parti au pouvoir et assurant leur emprise sur le gouvernement américain aux côtés du président élu Donald Trump.

Une victoire républicaine à la Chambre en Arizona, ainsi qu’une victoire en Californie, à décompte lent, plus tôt mercredi, ont donné au GOP les 218 victoires à la Chambre qui constituent la majorité.

Les républicains avaient auparavant pris le contrôle du Sénat au profit du parti démocrate.

Avec des majorités âprement disputées mais minces, les dirigeants républicains envisagent un mandat pour renverser le gouvernement fédéral et mettre rapidement en œuvre la vision de Trump pour le pays.

Le nouveau président a promis de mener la plus grande opération d’expulsion jamais réalisée dans le pays, d’étendre les allégements fiscaux, de punir ses ennemis politiques, de prendre le contrôle des outils les plus puissants du gouvernement fédéral et de remodeler l’économie américaine.

Les victoires électorales du Parti Républicain garantissent que le Congrès américain sera d’accord avec ce programme, et les démocrates seront presque impuissants à le contrôler.

Lorsque Trump a été élu président en 2016, les républicains ont également balayé le Congrès, mais il a quand même rencontré des dirigeants républicains résistants à ses idées politiques, ainsi qu’une Cour suprême à majorité libérale. Pas cette fois.

À son retour à la Maison Blanche, Trump travaillera avec un parti républicain complètement transformé par son mouvement « Make America Great Again » et une Cour suprême dominée par des juges conservateurs, dont trois qu’il a nommés.

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